![Michel Houellebecq, Je n’avais. Courtesy de l’artiste et Air de Paris, Paris.](https://i0.wp.com/www.mieuxenrose.com/wp-content/uploads/2016/07/Je-navais-500x341.jpg?resize=500%2C341)
Cette phrase lapidaire est extraite de Soumission, le dernier roman de Michel Houellebecq. Dans Palais 23, le magazine du Palais de Tokyo, consacré à l’exposition Rester vivant, Michel Houellebecq dit que dans chacun de ses romans il y a toujours un moment où le personnage principal comprend qu’il n’a rien de spécial comparé aux autres êtres humains.